La branche Santé représentera en 2016 les deux tiers du déficit de la sécurité sociale et ce, malgré 3,4 milliards d’économie. Les principales pistes consisteront à éviter les actes inutiles et redondants (1,2 milliard d’économie), à développer les génériques (économie 1 milliard), en mutualisant les dépenses d’hôpitaux (690 millions d’économie) et en favorisant le virage ambulatoire (économies 465 millions).