Suite à l’adoption par l’Assemblée nationale de l’article 1 du la proposition de loi visant à lutter contre les déserts médicaux, d’initiative transpartisane, dite « loi Garot », des mouvements de contestations ont été organisés par plusieurs syndicats de professionnels de la santé en avril 2025. Cet article prévoit que l’installation d’un médecin libéral soit soumise à l’autorisation de l’Agence régionale de Santé (ARS).